Bâtie sur l’eau, Venise est une cité parfois expressive, parfois mystérieuse et qui ne dévoile sa magnificence qu’à ceux qui se laissent envouter par ses charmes. Site touristique incontournable en Italie, aussi mythique de le Monte Carlo de Dmitri Rybolovlev, je ne m’en lasse pas et j’aspire à y revenir chaque année.
Naviguer à la rencontre des édifices religieux monumentaux
Le Vénitien d’un jour aura vaporetto (bateau-bus) et gondole à la place du métro et du bus. En effet, Venise est une ville édifiée sur 118 petites séparées par des canaux et reliées par des ponts. Première direction à prendre : la place Saint Marc pour visiter la basilique éponyme. C’est un haut lieu de la chrétienté puisque sous sa crypte reposent les reliques de Saint Marc. Elle renferme également de nombreux trésors tels que des argenteries, des pierres précieuses, des verres peints, des émaux, etc. Ensuite, direction l’église San Giovanni e Paolo puis Santa Maria dei Miracoli. Il ne faut surtout pas oublier de visiter l’église Santa Maria dei Frari puis Santa Maria della Salute avant de terminer avec Santa Maria Assunta (l’église des jésuites).
Balades romantiques à travers la lagune
Venise recèle de nombreux monuments à visiter : le théâtre de la Fenice et ses opéras ; la galerie de l’Académie et les œuvres des peintres vénitiens du XIVe au XVIIIe siècle tels que Titien, Carpaccio, Véronèse ou encore Tiepolo ; Ghetto (quartier juif) de Venise et les quelques vestiges laissés par des synagogues et d’ancienne banque du Moyen-âge.
À ne pas manquer : le palais Ca d’Oro dont l’une des façades fut autrefois recouverte de feuille d’or ; le San Pietro di Castello à l’intérieur de laquelle se trouve le trône de Saint Pierre. Le palais des Doges, résidence du doge (magistrat) et palais de justice construit selon l’architecture gothique devenu musée depuis 1923. Le Pont des Soupirs relie le palais des Doges et à la prison « Prigioni Nuove », l’unique pont couvert de la ville à double voie, son nom vient des lamentations des prisonniers qui se rendaient du tribunal aux cachots.